14 novembre 2012
Sous la nuit
Contrariante aurore qui effractione la nuit ta subtile venue n'efface pas l'ennui, la douleur alentie l'éternel regret de tous ces someilleux qui déplissent leurs paupières. Ni la fumée du thé ni le soleil revenant ni les aiguilles vivantes de l'horloge...